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Raymonde Palcy comédienne (site officiel)

30 août 2022

Raymonde Palcy, comédienne (site officiel)

Raymonde Palcy, comédienne (site officiel)

 

A peu près tout   sur                      

petit Raymonde Palcy

 

Actualité  : voir " LES SPECTACLES : agenda, créations, tournées"

 

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 Mise à jour 30 08 22

 

 

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http://www.madinin-art.net/

https://stop-violences-femmes.gouv.fr/

 

 

 

https://www.cairn.info/revue-finance-et-bien-commun-2007-3-page-40.htm

 

 

 

http://fr.africanews.com/culture/

 

 

 

http://www.spla.pro/fr/

 

 

https://www.africavivre.com/coups-de-coeur-a-lire/pieces-de-theatre

 

https://news.google.com/?hl=fr&gl=FR&ceid=FR:fr

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1 décembre 2018

EN COURS ET A VENIR...

 AGENDA, CREATIONS & TOURNEES

Toutes dates sous réserve de la situation sanitaire évidemment !

 

Les Preux de Sassoun

épopée arménienne, mise en scène Saté Khachatryan
L’épopée populaire arménienne «Les Preux de Sassoun» raconte le destin de héros de la région du Sassoun, située dans le sud-est de l’Arménie historique, aujourd’hui en Turquie. Le spectacle marie différentes cultures, de l' Arménie au Caucase et aux pays de l’Orient.

Mains au foulard

Après la tournée faite en Arménie du 11 au 28 avril 2021, reprise en Rhône-Alpes en septembre 2022

 Moi, Michel-Ange tailleur de pierre Compagnie La Poursuite

morcelé par la pandémie

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Nous étions debout et nous ne le savions pas

de Catherine Zambon, mise en scène Pierre Lambert

 Nous étions debout léger

  Avec gravité et légèreté, Catherine Zambon raconte des personnages qui interviennent de par leurs actions sur le plan social, mais elle nous les montre aussi dans leur intimité avec leurs doutes, leurs espoirs, leurs rêves, leurs fantaisies…
Des témoignages qui re questionnent nos utopies.

Théâtre Gaston Bernard de Chatillon/Seine le 3 Mai 2019, Colmar le 31/05/19,Festival Scènes en Vert début juin à Dijon
Présence Pasteur Festival d’Avignon du 7 au 27/07/19, 27 mars 2020 Carré Sam Boulogne sur Mer

Reprise Festival d'Avignon 2022

 Une autre Cerisaie   

Mise en scène   Solène Krystkowiak                                                                             

 je renomme

1903 : Tchekhov achève l'écriture de La Cerisaie. Cent ans après, une cerisaie est déracinée dans le quartier du Vergoin, dans le  9ème arrondissement de Lyon. C’est le point   de départ de l’histoire. La replantation, quelques années plus tard,  de dix-huit cerisiers au pied des immeubles  du quartier permet l’éclosion de nouvelles  histoires, de nouveaux souvenirs autour de   ce lieu de vie et de passages qui a déjà vu grandir toute une génération.   C’est  à  partir  de  l’œuvre  de  Tchekhov,  et   des témoignages des habitants du Vergoin, que la Compagnie des Rêves Arrangés propose  Une autre Cerisaie,   sous la plume de Béatrice Bienville

 24 au 28 Février 2020 au Théâtre des Marronniers à Lyon

du 22.11/2021 eu 5/12 : Nouveau travail au cours d'une résidence au TNP, puis tournée les mois suivants

 

 

 

 

 

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10 octobre 2018

Les liens proches

 

 

http://www.madinin-art.net/

 

https://www.cairn.info/revue-finance-et-bien-commun-2007-3-page-40.htm

 

http://fr.africanews.com/culture/

 

http://www.spla.pro/fr/

 

https://www.africavivre.com/coups-de-coeur-a-lire/pieces-de-theatre

 

 

http://www.oasisfle.com/culture_oasisfle/litterature_palestinienne.htm#Ghassan%20Kanafani

 

 

 

 

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9 octobre 2018

presse

 

Pluie et vent sur Thélumée Miracle – Artistic Athévains

Raymonde Palcy,intense et puissante présence (Le Quotidien du médecin) 

 

Le Sas- théâtre de la Platte, Lyon et festival d’Avignon

Raymonde Palcy, qui avec la vérité de son corps, de ses mains, de son regard,de ses sourires et de ses cris,impose le personnage d’une femme brisée mais qui n’a pas abdiqué (Le Monde)

Raymonde Palcy, de par une interprétation vraie, sait atténuer ce que le texte comporte d’intellectualisme pour hurler avec fière et sensible tenue théâtrale la volonté de vivre d’une femme en révolte (Les Temps modernes)

La peau sombre de la comédienne marque l’étrangeté de cette femme qui a les murs dedans (Libération)

Une interprétation exemplaire pour un moment âpre et fort (Radio France) 

 

Le Cercle de craie caucasienToursky, Marseille

Raymonde Palcy, émouvante et convaincante (La Marseillaise)

Raymonde Palcy , Groucha poignante d’atavique bonté (Le Provençal)

Car elle n’a pas peur d’être émouvante, Raymonde Palcy en qui on retrouve la vraie Groucha (La Marseillaise)

 

Signes Particuliers - La Tempète

Raymonde Palcy, bouleversante, accrochée à sa maison, aux traites impayées comme à une bouée de sauvetage (Le Point)

On est pris à la gorge par Raymonde Palcy, incarnant Lydia, petite femme endettée dans un univers qui la dépasse (L’Express )

 

Demain il fera beau - théâtre des Marronniers Lyon

journal d’une adolescente 1939-1944

Comme si les deux comédiennes pompaient cette vie goulûment afin de nous l’offrir en spectacle.(Le Progrès)

Dans une mise en scène sobre, Raymonde Palcy et Corinne Descotes réussissent à faire passer le propos essentiel du texte : le refus de l’inacceptable(Lyon Capitale)

Sans héroïsme ni catastrophisme, voici le portrait d’une adolescente sur fond de guerre, par deux comédiennes qui découvrent ce récit (L’Express)

 

Petite Négresse de l’île Saint-Pierre - Les Marronniers, Lyon - Festival des écritures, Alfortville

Raymonde Palcy est cette petite fille qu’elle campe fermement dans sa fraîcheur et sa fragilité. Elle porte le spectacle (Le Figaro)

Enfin, il y a ce moment de grâce suspendue où la petite, négresse de l'île Saint-Pierre devenue femme, se lève et dit «  Je »(Ekodafrik) 

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 Kamélia - Compagnie Théâtrale Guyanaise - Macouria, Cayenne

Raymonde Palcy, en scène du début jusqu'à la fin de cette représentation d'une heure trente, interprète le rôle central de Kamélia. Une véritable performance d'acteur, où la comédienne véhicule superbement une foule de sentiments contradictoires. Une grande pro ! (Le Marron, journal de Kourou)

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Sauf que – mise en scène Franck Mas -L'Emmetrop Bourges -

Seulement vê­tue de feuilles d'or, la formidable comédienne Raymonde Palcy dit le tex­te entre ombre et lumière. C'est un long poème. d'amour, un chant de re­grets, le bilan de vieux amants, la prière d'un der­nier je t'aime (Le Berry Republicain)

 

Gènes - mise en scène Franck Mas - L'Emmetrop Bourges -

Impressionnante Raymonde Palcy émergeant du plancher pour exiger son dû : des remords (Le Berry Republicain)

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8 octobre 2018

Vidéos récentes

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8 octobre 2018

Les spectacles

Tous les spectacles sont repris dans le diaporama : http://raymondepalcy.canalblog.com/albums/diaporama/index.html

2021 et 2022

Reprises post pandémie

2020

"Une autre Cerisaie", mise en cène Solène Kristkowiak, Théâtre des Marronniers, Lyon

"Le Mariage", de Marie-Hélène Chiocca, mise en scène    Henri Gruvman, Théâtre de Bourg

2019

"Nous étions debout et nous ne le savions pas", de Catherine Zambon, mise en scène Pierre Lambert, Festival d'Avignon

2016

"Les Preux de Sassoun" épopée arménienne, mise en scène Saté Khachatryan avril 2017, Toboggan de Décines (69)

• "Les Soyeuses"  mise en scène Henri Gruvman, janvier 2017 Théâtre de Bourg en Bresse

Sans titre-2 copie

2015

"Des Inconnus chez moi" Tournée

 'L'Algérie, le soleil et l'obscur" création octobre 2015 à Espace 44 à Lyon, articulée sur l'édition du texte (Voir Spectacles, créations, tournées)

2014

•"Des Inconnus chez moi", mise en scène Magali Berruet, Théâtre des Marroniers (Lyon), Théâtre de Macouria (Guyane)

•" Les Preux de Sassoun", épopée arménienne, mise en scène Saté Khachatryan, Le Toboggan (69)

2013

• "Gènes", théâtre-installation, mise en scène Frank Mas, Emmetrop de Bourges

• "Les Soyeuses", de Marie-Hélène Chiocca, mise en scène Henri Gruvman, Musée de la Soie, Ain

2010 et 2011

• "Ourika de Gorée au pays des Lumières", mise en scène Claude Défard, création à Beaugency et à Pierre-Bénite

2009

• "Kamélia", texte et mise en scène Marie-Annie Félicité, Compagnie Théâtrale Guyanaise-scène conventionnée, création et tournée en Guyane

• "Sauf que", théâtre-installation, mise en scène Franck Mas. l'Emmetrop de Bourges, Apostrophe de Cergy Pointoise

• "P'tit Bout", spectacle de marionnettes, compagnie Syma, création à Thoissey dans l'Ain

2008

• "La Grande faim dans les arbres", tournée

• "Anjo Negro" , de Nelson Rodrigues, mise en scène Marc-Albert Adjadj, Création et tournée en Guyane

• "Nouvelles africaines", de Doris Lessing, mise en espace de Claude Défard, tournée dans les médiathèques et lieux de la Lecture publique en Rhône-Alpes

2007

• "La Grande Faim dans les Arbres", de Jean-Pierre Cannet- Mise en piste de Christian Sterne, Création à La Passerelle -Fleury-Les-Aubrais (45) (compagnie Les Fous de Bassan)

2006

• "Et Plus si "- Festival d' Avignon off

• "Ça t’apprendra à vivre", de Jeanne Benameur -mise en scène Claude Défard - création à Lyon

2005

• "Et Plus si", d’Emmanuel Darley, mise en scène Thierry Tchang Tchong - Chambray les Tours

Reprises de "C’est pas pétite affaire", de "Petite Négresse de l’île Saint-Pierre"  et de "Mélancholia 2"

2004

• "C’est pas pétite affaire" d’après huit romanciers africains contemporains, mise en scène Claude Défard Théâtre des Marronniers à Lyon

• "Petite Négresse de l’île Saint-Pierre", texte et mise en scène de Claude Défard -Théâtre des Marronniers à Lyon

• "Mélancholia 2", de Jon Fosse, mise en scène Magali Berruet - Création à Tours

2003              
       
•  "La Revanche des pissenlits"  de Marie Nimier - Mise en scène Claude Défard - Horlieu à Lyon du 13 au 19 janvier 2003, tournée Rhône-Alpes et festival « Acteurs acteurs » à Tours.

*Reprises de « Lope de Aguirre, traître », et de « Demain il fera beau »

2002

"Demain il fera beau" de Denise Domenach Lallich - Mise en scène Claude Défard et Corinne Descote  Théâtre des Marronniers à Lyon - Tournée Rhône-Alpes.

• "Lope de Aguirre, traitre" de José Sanchis Sinisterra  -Mise en scène José Manuel Cano Lopez  -Scène nationale de Bayonne, théâtre de Thouars (49), Le Plessis Théâtre (37).

"Ruy Blas" de Victor Hugo -Mise en scène Arlette Allain - Château de la Bâtie d'Urfé (42).

"Othello" d'après Shakespeare - Mise en scène Emmanuel Meirieu -Théâtre de la Croix-Rousse Lyon

2001

"Hilda"  - Reprises Scène nationale de Sénart (77) Centre des Arts et de la Culture, de Pointe à Pitre (Guadeloupe) C.C.O. Villeurbanne (69).

• "Le Black Note" - Reprise Médiathèque de Pont-en-Royans (38).

"Pluie et vent sur Télumée Miracle" - Reprise Astronef, Marseille.

2000

• "Un Aigle ébloui par l'étoile" de Jean Thollot -Mise en scène Arlette Allain  - Château de Montrond-les Bains.

"Hilda" de Marie Ndiaye - Mise en scène Claude Défard - Horlieu, Lyon

"La Voix de son maître"  Téléfilm réalisé par Luc Béraud - FR3

"Le Black Note" de Tanguy Viel  - Mise en espace Corinne Descote - Firminy (Loire).

"Le Pont de l'aigle" Téléfilm réalisé par Bertrand Van Effenterre - FR 3

1999

"Jazz"  CDR de Martinique.

• "Frères Volcans"  Reprise Paris.

• "Pluie et vent sur Télumée Miracle" d'après Simone Schwartz-Bart - Mise en espace Anne-Marie Lazarini -  Théâtre Artistic Athévains, Paris Tournée Guadeloupe, Martinique.

1998

• "Paroles d’esclaves" -Tournée Lyon, région parisienne, Guadeloupe, Martinique, Guyane.

• "Jazz" - Tournée Rhône-Alpes et Guadeloupe.

• "La Maison de Bernarda Alba" de Federico Garcia Lorca -Mise en scène Philippe Faure -Théâtre de la Croix-Rousse, Lyon.

"Frères Volcans" de Vincent Placoly - Mise en scène Anne-Marie Lazarini - Théâtre Artistic Athévains, Paris -  Tournée Tours

1997

• "Paroles d'esclaves" d'après James Mellon - Mise en scène Alain Besset -NEC de St-Priest-en-Jarest et région Rhône-Alpes.

"Jazz "de Toni Morrison -Mise en espace Claude Défard - Condition des Soies Lyon, et tournée Rhône-Alpes.

"Lettres indiennes" Tournée Martinique et Guadeloupe.

1996

"La Parole de nuit", de Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant et Gisèle Pineau -Mise en espace Claude Défard - Production Textes à dire - Tournée en Rhône-Alpes.

• "Lettres indiennes" de Gerty Dambury - Mise en scène Alain Timar - Festival d'Avignon, théâtre des Halles L'Artchipel-Scène nationale de la Guadeloupe.

"Hôtel du Nord" d'après le film de Marcel Carné - Mise en scène Alain Besset- NEC de St-Priest-en-Jarest et région Rhône-Alpes.

"Le Cercle de craie caucasien" de Bertolt Brecht - Mise en scène Akel Mohammed Akian -Théâtre Toursky, Marseille -  Région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

1995

"Signes particuliers" Reprise au théâtre de la Tempête à la Cartoucherie de Vincennes.

• "Le Sas", scène nationale La Coupole de Melun-Sénart.

1994

"Une Seconde Naissance de Dominique" - Tabuteau - FR3.

"Le Sas", tournée (France-Italie).

"Signes particuliers" d'après "La Misère du monde", de Pierre Bourdieu -Mise en scène Alain Timar - (festival d'Avignon).

1993

"Un Soleil en hiver" de Laurent Carceles - FR3.

"Terres de Déraison", tournée Rhône-Alpes.

"Le Sas", festival d'Avignon off et tournée.

• Lecture de "Embarcadère", textes réunis par le peintre Alain Pouillet - Bibliothèque de la Part-Dieu, Lyon.

"Amour pour amour" de William Congreve - Mise en scène Sylvie Mongin-Algan -Théâtre des Célestins, Lyon.

1992

• "Le Sas" de Michel Azama - Mise en scène Olivier Maurin - Théâtre de La Platte, Lyon -Reprise dans le cadre de "Complicités d'évasion".

"Terres de Déraison" d'après Saint-John Perse - Mise en scène Anne-Lise Blanchard -Salle Genton, Lyon.

1991

"Bing II" de Nino Monti - FR 3.

1990

"La Partante" de Michel Azama - Mise en scène Olivier Maurin - Festival Acteurs à Genton, Lyon.

1989

"Les Fourberies de Scapin" Mise en scène Philippe Clément - Théâtre de l'Iris - Villeurbanne.

 

1988

"Inventaires" de Philippe Minyana - Mise en scène Alain Peillon - IREP - Villeurbanne.

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8 octobre 2018

Pour un métissage généralisé des oeuvres et des interprètes" : deux interviews

  Cité Black 18 0ctobre 2004

  Pouvez-vous nous présenter "Villes black, rires noirs", pourquoi un tel titre?

  Aucun titre n'est tout à fait innocent, c'est sûr. Il traduit des expériences, parfois des agacements personnels. Par exemple, quand on est comédienne et noire, on se voit sans arrêt demander : pourriez-vous me "faire" des contes africains.. Ceci même si l'on n'est pas africaine... et même si l'on n'est pas conteuse! Car conteur, c'est un autre art, que j'admire du reste, mais que je n'ai jamais appris. Alors, à la longue, il y a comme une lassitude que "black" soit toujours synonyme de "conte", d'animaux, de tradition... Or la saison dernière, j'ai fait avec Robbas Biassi Biassi un travail pour une association de médiathèques sur le roman africain. Cela m'a amenée à lire et relire beaucoup d'auteurs récents. J'ai été frappée par leur maîtrise du récit, de la satire sociale et politique, et par leur façon de rire du pire pour le transformer. D'où le "rire noir" du titre.Et puis aussi j'ai aimé un univers qui n'a rien à voir avec les tortues, les rois lions, la jungle... Non, dans notre spectacle, c'est plutôt le bitume, les enfants soldats, les grandes cités... Voilà, "rires blacks". C'était aussi une façon de dire "oui, on va vous parler de l'Afrique à notre façon : ni le SIDA et la famine des magazines, ni les contes merveilleux de la brousse... Une autre Afrique."

  Parlez-nous aussi de " c'est pas pétite affaire" et "petite négresse de l'île Saint-Pierre". A qui s'adresse ces spectacles ?

  A tout le monde j'espère! Enfin pour moi, un spectacle réussi parle aux spectateurs de tous âges, de toute origine. Peut-être les blacks seront-ils sur-représentés au théâtre des Marronniers, par rapport au public du reste de la programmation ? On verra. Mais dans le travail, je ne pense pas à telle ou telle catégorie de public. Il s'agit de vivre des situations, des émotions ... de parvenir à les transmettre et à les faire partager... et aussi de servir une langue, qui est souvent ici très belle et très âpre. Parfois, après les représentations, les spectateurs me demandent si j'ai vraiment vécu personnellement quelque chose de proche de ce qui est joué. Selon le spectacle, on vous interroge : "Avez-vous vraiment fait de la prison... Pensez-vous à une guerre que vous avez traversée vous même ?" La plupart du temps, non ! Le comédien a seulement exprimé au plus près l'émotion portée dans le texte. Peut-être n'aurait-il pas pu le jouer d'ailleurs si c'était son histoire d'un peu trop près? Mais ces questions sont un beau compliment.

  Vous partagez la scène avec un autre artiste congolais, comment vous êtes-vous rencontrés?

  Robbas Biassi Biassi, je l'ai rencontré en 96 à Lyon. Nous avons joué ensemble dans un spectacle que j'ai coproduit :"Paroles d'esclaves". Tout un programme, non ? Il s'agissait d'interviews des derniers esclaves vivant aux USA, interrogés alors qu'ils étaient très vieux. J'ai aussi joué avec Robbas dans "Le Black Note", de Tanguy Viel, l'histoire d'un blanc qui aime tellement le jazz qu'il finit par se croire noir.

  Il est Africain, vous êtes Antillaise, vous jouez ensemble des oeuvres afros à Lyon, c'est tout un symbole?

  C'est plutôt une réalité.Comme tout le reste du pays, Lyon est un pays mêlé... donc l'occasion de faire découvrir des horizons divers, des cultures diverses. Et puis, Antillais ou Africain aussi, c'est une réalité, puisque nous sommes issus du même continent, l'Afrique. Et nous partageons la scène avec Marcelle Basso : à première vue, on ne peut pas être plus "français-France" qu'elle ! or elle est fille d'Italien, une autre diaspora.

  Quelle est selon vous la place de la culture noire aujourd'hui?

  Il me semble que la musique occupe la plus grande place.. puis la danse, puis la littérature, puis le théâtre... Et par intermittence les arts plastiques. Plus l'énumération avance, plus on tombe dans les clichés. La diversité de la musique, encore, est à peu près reconnue. Mais déjà avec la danse, on dérive souvent vers le folklore, on voit essentiellement les danses traditionnelles. on ignore trop souvent le travail des chorégraphes contemporains, qui puisent leur sources dans la tradition pour la dépasser. Pour la littérature, je vous ai déjà dit ma lassitude sur le conte systématique. Même chose au théâtre, souvent. Pourtant, depuis quelques années, plusieurs éditeurs français font découvrir des oeuvres nombreuses, francophones et aussi d'autres en traduction. Sur ce point, le progrès est énorme.

  Comment réagissent les spectateurs de province face à vos spectacles?

  Nous créons "en province", comme on dit en France, mais nous avons joué un peu partout : Lyon, Paris et sa région, Martinique, Guadeloupe, Guyane, Réunion. Je ne constate pas de différence bien marquée Paris province... Plutôt des différences qui tiennent au vécu des spectateurs. En métropole, on commence dans un silence religieux à écouter ce qui est dit, ou joué, ou chanté. Les gens partent pour une autre planète. A la fin, ils se pressent pour nous demander les références des oeuvres, tout étonnés de les avoir ignorées si longtemps. En revanche, les spectateurs d'Outremer anticipent les situations et en rient d'avance... et à la fin, ils les commentent parce qu' elles leur sont familières... et en rient encore même si ce rire est parfois un peu noir.

Pour en revenir à vous Raymonde, est-ce que cela a été facile d'imposer votre jeu, vos envies dans le monde des arts et du spectacle? 

Facile... difficile..?  Tout comédien a un, ou plusieurs rôles, dont il rêve. Moi, c'était Phèdre, et aussi Médée. Mais j'étais trop noire. Après, des compagnies africaines ont monté ces pièces...mais j'étais café au lait... Bref, ce n'est pas simple. Dans"Petite Négresse de l'île Saint-Pierre", il y a justement une scène, un peu ironique, sur ce sujet, sur la comédienne non seulement noire, mais encore métisse ! et en plus qui ne parle pas créole.   C'est un peu autobiographique... heureusement en partie seulement. J'ai eu des metteurs en scène qui m'ont donné de très beau rôles, indépendamment de ma couleur.

  Trop souvent, les comédiens black parlent de la difficulté de trouver des rôles ..

Quand on monte des oeuvres de la diaspora africaine, c'est pour moi comme... rétablir l'équilibre. Dans tout ce que l'on joue au théâtre, il s'agit toujours de l'humain, évidemment. Mais là, on change le point de vue, on remet notre culture à sa place juste. Cela me fait penser aux représentations géographiques du planisphère. La taille des continents dépend de la projection choisie. Dans la carte que nous avons appris tous à l'école, l'Europe est au centre, donc très grosse, l'Afrique  en bas à droite, donc toute petite.  Un géographe, je crois qu'il s'appelle Peters, a dessiné une autre projection : l'Afrique au centre, donc plus grosse, l'Europe au coin, donc petite... Je pense que nous, nous faisons le même travail de changement de perspective en plaçant les cultures "du sud" au centre de  nos préoccupations: on les remet à leur taille !

Mais en fait je ne suis pas tellement axée sur la problématique Blanc/Noir, mais plutôt sur celle d'un métissage généralisé des oeuvres et de l'interprétation. . J'aime que le public, et les comédiens sur le plateau, soient à l'image de cette diversité. Dans "Demain il fera beau", il y a deux ans, nous étions deux comédiennes, une Blanche, une Noire,  pour incarner une adolescente  petite bourgeoise catholique bien française des années quarante : aucun spectateur n'a été surpris. S'il n'y a pas plus de mélange dans les distributions au théâtre, la frilosité tient aux créateurs, pas au public ...

Amina N° 416

Parlez-nous de votre carrière théâtrale ...Vos rêves de comédienne correspondaient-ils alors à la réalité du métier ?

Pas vraiment. Au départ, je voulais être danseuse, mais, comme disait ma grand-mère, " Y a pas de Noirs à l'opéra !" Quand j'ai pu me payer mes propres cours de danse, il était trop tard pour que je m'exprime par la danse et j'ai choisi une autre façon de le faire : le théâtre. A la suite du "Sas", je suis tom­bée sur un livre, "Paroles d'esclaves", de James Mellon, une découverte extraordinaire du fait que la littérature de l'époque ne parlait pas de l'esclavage. Je l'ai feuilleté et j'y ai trouvé des témoignages recueillis par un Américain auprès des derniers esclaves vivants aux Etats-Unis et auprès de leurs anciens maîtres vivants. Ces histoires de vies m'ont vivement touchée. Je me suis alors mise à rechercher des informa­tions sur l'esclavage, en bibliothèque. Ima­ginez... Dans les années 90, il n'y avait rien sur l'esclavage au rayon français ! C'est là que je me suis dit qu'il fallait porter cette parole. En tant qu'être humain, la parole de l'esclave ne pouvait être unique, mais plutôt multiple. Je mettais alors en parallèle ce que je venais de jouer sur la prison. Ce qui fait qu'un homme reste un homme, et qui différencie l'homme de l'animal, même dans la plus grande douleur, qu'il s'agisse de détenus ou d'esclaves, c'est le rire, la parole et cela m'a beaucoup frappée.

Vous jouez le premier rôle de la pièce "Petite négresse de l'île Saint-Pierre"; qui est un peu votre histoire. Comment l'idée d'une telle mise en scène a-t-elle germé ?

Cette petite négresse de l'île Saint-Pierre, c'est en grande partie mon histoire. L'île Saint-Pierre était un quartier de la banlieue parisienne, plus particulièrement d'Alfortville. Comme dans toutes les familles, on aime à raconter notre enfance. Mon compagnon, qui a eu une enfan­ce très différente de la mienne, aimait nous entendre en parler et pensait qu'il fallait écrire nos histoires. A force de m'entendre parler de tout cela, il s'est mis à noter tout ce que je racontais. Au bout de plusieurs années - 4 ou 5 ans -, lors d'un voyage il s'est mis à écrire une pièce à partir de mes souvenirs d'enfance. II y a deux ans, il m'a montré ce qu'il avait écrit et j'ai éclaté en sanglots. II m'a demandé si d'une part je ne me sentais pas trahie et d'autre part d'annoter ce sur quoi je n'étais pas d'accord, tout en insistant sur le fait que cette pièce devait garder un ressort à la fois dramaturgique et cocasse. J'ai compris sa démarche et intégré que quand on met en scène une autobiogra­phie, il y a toujours une part de création artis­tique qui ne respecte pas forcément la vérité. II a raconté notre vie à travers trois personnages : une petite fille représentée par "Elle" , "L'au­tre", une habitante de l'île Saint-Pierre de la même génération, qui pose un oeil extérieur, et le griot-au-chômage, cet homme venu d'Afrique. C'est un peu ce qui se passe dans la vie, un même événement est raconté différem­ment par les personnes qui le vivent.

Est-il facile de revivre sur scène quelques  mor­ceaux choisis de sa vie ?

C'est la première fois que je le fais. Au départ, j'avais quelques appréhensions, mais dans la mesure où cette pièce est écrite avec trois per­sonnages, je ne joue pas Raymonde Palcy mais "Elle". II faut forcément dissocier les person­nages de soi. La petite négresse dans cette his­toire est très ludique. L’œil extérieur de Claude Défard me juge certainement mieux que je ne peux le faire moi-même. Tout en appartenant à une famille ballottée à droite comme à gauche, j'étais une gamine rieuse. J'avais toujours des mauvaises notes en classe parce que j'aimais rigoler ou bavarde. II a su sauvegarder le fond.

Aviez-vous des appréhensions quant au regard du public ?

Non. II est vrai que cette pièce dévoile beau­coup d'aspects de ma  vie. Nous avons eu l'occasion d'en faire une première lecture au festival d'acteurs de Tours en mai dernier. Ensuite, il y a eu une discussion avec le public. Certaines personnes ont été émues, d'autres ont ri et à la fin beaucoup se sont mis à raconter leurs propres histoires. "La petite négresse", c'est aussi l'histoire d'une grand-mère et des rapports qu'elle entretient avec sa petite-fille. Cet échange a été très fort. Finalement, parce que c'est l'histoire d'êtres humains, elle est uni­verselle !

La programmation théâtrale du mois de novembre est axée sur les Antilles ou l’ Afrique. Est-ce fortuit ?

Cette pièce fait partie d'un diptyque "Villes black, rires noirs" où l'on joue en alternance : "Petite négresse de l'île Saint-Pierre" puis le lendemain "C'est pas petite affaire", une pièce à deux comédiens montée par Claude Défard, à partir de huit extraits de romanciers africains contemporains et de romanciers francophones, anglophones et lusophones. On a eu envie de monter ce spectacle avec le premier pour mon­trer que l'Afrique n'est pas un pays mais un continent. II y a des contes, des romanciers, des cultures. (Camille Vieux-Fort)

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8 octobre 2018

RAYMONDE PALCY : ETRE UNE "MINORITE VISIBLE" AU THEATRE ...

ETRE UNE "MINORITE VISIBLE" AU THEATRE

" Facile... difficile..?  Tout comédien a un, ou plusieurs rôles, dont il rêve. Moi, c'était Phèdre, et aussi Médée. Mais j'étais trop noire. Après, des compagnies africaines ont monté ces pièces...mais j'étais café au lait... Bref, ce n'est pas simple. Dans"Petite Négresse de l'île Saint-Pierre", il y a justement une scène, un peu ironique, sur ce sujet, sur la comédienne non seulement noire, mais encore métisse ! Cela se passe  entre le metteur en scène (blanc) et la comédienne noire. 

 

- Le metteur en scène : " C'est le rôle d'une gouvernante martiniquaise. Un rôle pour toi. Beaucoup d'apartés en créole. " - La comédienne: " Je ne parle pas créole"  - "Tu es Martiniquaise et tu ne parles pas créole ?"-"Non, à l'île Saint Pierre, c'était interdit. Pour mieux réussir à l'école.. Il a été gentil, le metteur en scène; J'ai eu le rôle quand même. J'ai appris par cœur les répliques en créole . J'ai pris un disque pour étudier, le "Créole martiniquais sans peine", ça s'appelait....Souvent on veut me faire jouer des infirmières, parce que quand on est noir, sans queue de cheval, on fait l'infirmière, c'est comme ça. Une fois même, j'ai fait une infirmière extra-terrestre. Dans une soucoupe volante. C'était pour la télé."

 

C'est un peu autobiographique... heureusement en partie seulement. J'ai eu des metteurs en scène qui m'ont donné de très beau rôles, indépendamment de ma couleur. Et puis parce que ne faut pas toujours accuser l'autre ('le Blanc!), une petite anecdote que j'aime bien raconter. Et qui montre que quelque fois, c'est nous qui créons le problème...Un metteur en scène me distribue le rôle de Josepha, la grand-mère, dans" La Maison de Bernarda Alba", de Lorca. Dans cette pièce, ma fille et mes petites filles sont toutes plus blanches les unes que les autres. Un jour je  je ne résiste pas à demander au metteur en scène pourquoi il m'a choisie. Il me répond : "Mais Raymonde, parce que tu es une bonne comédienne". Et moi : "Bon, oui, d'accord, mais... je suis Noire". Et c'est moi qui me suis trouvée toute bête devant son regard étonné. "

( dans Cité Black, octobre 2004)

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8 octobre 2018

CURRICULUM

bref curriculum chronologique

Sans titre-2 copie

 

Le diaporama en fin de site adopte l'ordre inverse

1988

"Inventaires" de Philippe Minyana - Mise en scène Alain Peillon - IREP - Villeurbanne.

1989

"Les Fourberies de Scapin" Mise en scène Philippe Clément - Théâtre de l'Iris - Villeurbanne.

1990

"La Partante" de Michel Azama - Mise en scène Olivier Maurin - Festival Acteurs à Genton, Lyon.

1991

"Bing II" de Nino Monti - FR 3.

1992

• "Le Sas" de Michel Azama - Mise en scène Olivier Maurin - Théâtre de La Platte, Lyon -Reprise dans le cadre de "Complicités d'évasion".

"Terres de Déraison" d'après Saint-John Perse - Mise en scène Anne-Lise Blanchard -Salle Genton, Lyon.

1993

"Un Soleil en hiver" de Laurent Carceles - FR3.

"Terres de Déraison", tournée Rhône-Alpes.

"Le Sas", festival d'Avignon off et tournée.

• Lecture de "Embarcadère", textes réunis par le peintre Alain Pouillet - Bibliothèque de la Part-Dieu, Lyon.

"Amour pour amour" de William Congreve - Mise en scène Sylvie Mongin-Algan -Théâtre des Célestins, Lyon.

1994

"Une Seconde Naissance de Dominique" - Tabuteau - FR3.

"Le Sas", tournée (France-Italie).

"Signes particuliers" d'après "La Misère du monde", de Pierre Bourdieu -Mise en scène Alain Timar - (festival d'Avignon).

1995

"Signes particuliers" Reprise au théâtre de la Tempête à la Cartoucherie de Vincennes.

• "Le Sas", scène nationale La Coupole de Melun-Sénart.

1996

"La Parole de nuit", de Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant et Gisèle Pineau -Mise en espace Claude Défard - Production Textes à dire - Tournée en Rhône-Alpes.

• "Lettres indiennes" de Gerty Dambury - Mise en scène Alain Timar - Festival d'Avignon, théâtre des Halles L'Artchipel-Scène nationale de la Guadeloupe.

"Hôtel du Nord" d'après le film de Marcel Carné - Mise en scène Alain Besset- NEC de St-Priest-en-Jarest et région Rhône-Alpes.

"Le Cercle de craie caucasien" de Bertolt Brecht - Mise en scène Akel Mohammed Akian -Théâtre Toursky, Marseille -  Région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

1997

• "Paroles d'esclaves" d'après James Mellon - Mise en scène Alain Besset -NEC de St-Priest-en-Jarest et région Rhône-Alpes.

"Jazz "de Toni Morrison -Mise en espace Claude Défard - Condition des Soies Lyon, et tournée Rhône-Alpes.

"Lettres indiennes" Tournée Martinique et Guadeloupe.

1998

• "Paroles d’esclaves" -Tournée Lyon, région parisienne, Guadeloupe, Martinique, Guyane.

• "Jazz" - Tournée Rhône-Alpes et Guadeloupe.

• "La Maison de Bernarda Alba" de Federico Garcia Lorca -Mise en scène Philippe Faure -Théâtre de la Croix-Rousse, Lyon.

"Frères Volcans" de Vincent Placoly - Mise en scène Anne-Marie Lazarini - Théâtre Artistic Athévains, Paris -  Tournée Tours, Douai.

1999

"Jazz"  CDR de Martinique.

• "Frères Volcans"  Reprise Paris.

• "Pluie et vent sur Télumée Miracle" d'après Simone Schwartz-Bart - Mise en espace Anne-Marie Lazarini -  Théâtre Artistic Athévains, Paris Tournée Guadeloupe, Martinique.

2000

• "Un Aigle ébloui par l'étoile" de Jean Thollot -Mise en scène Arlette Allain  - Château de Montrond-les Bains.

"Hilda" de Marie Ndiaye - Mise en scène Claude Défard - Horlieu, Lyon

"La Voix de son maître"  Téléfilm réalisé par Luc Béraud - FR3

"Le Black Note" de Tanguy Viel  - Mise en espace Corinne Descote - Firminy (Loire).

"Le Pont de l'aigle" Téléfilm réalisé par Bertrand Van Effenterre - FR 3

2001

"Hilda"  - Reprises Scène nationale de Sénart (77) Centre des Arts et de la Culture, de Pointe à Pitre (Guadeloupe) C.C.O. Villeurbanne (69).

• "Le Black Note" - Reprise Médiathèque de Pont-en-Royans (38).

"Pluie et vent sur Télumée Miracle" - Reprise Astronef, Marseille.

2002

"Demain il fera beau" de Denise Domenach Lallich - Mise en scène Claude Défard et Corinne Descote  Théâtre des Marronniers à Lyon - Tournée Rhône-Alpes.

• "Lope de Aguirre, traitre" de José Sanchis Sinisterra  -Mise en scène José Manuel Cano Lopez  -Scène nationale de Bayonne, théâtre de Thouars (49), Le Plessis Théâtre (37).

"Ruy Blas" de Victor Hugo -Mise en scène Arlette Allain - Château de la Bâtie d'Urfé (42).

"Othello" d'après Shakespeare - Mise en scène Emmanuel Meirieu -Théâtre de la Croix-Rousse Lyon.

2003              
       
"La Revanche des pissenlits"  de Marie Nimier - Mise en scène Claude Défard - Horlieu à Lyon du 13 au 19 janvier 2003, tournée Rhône-Alpes et festival « Acteurs acteurs » à Tours.

*Reprises de « Lope de Aguirre, traître », et de « Demain il fera beau »

2004

"C’est pas pétite affaire" d’après huit romanciers africains contemporains, mise en scène Claude Défard Théâtre des Marronniers à Lyon

"Petite Négresse de l’île Saint-Pierre", texte et mise en scène de Claude Défard -Théâtre des Marronniers à Lyon

"Mélancholia 2", de Jon Fosse, mise en scène Magali Berruet - Création à Tours

2005

"Et Plus si", d’Emmanuel Darley, mise en scène Thierry Tchang Tchong - Chambray les Tours

Reprises de "C’est pas pétite affaire", de "Petite Négresse de l’île Saint-Pierre"  et de "Mélancholia 2"

2006

"Et Plus si "- Festival d' Avignon off

"Ça t’apprendra à vivre", de Jeanne Benameur -mise en scène Claude Défard - création à Lyon

2007

"La Grande Faim dans les Arbres", de Jean-Pierre Cannet- Mise en piste de Christian Sterne, Création à La Passerelle -Fleury-Les-Aubrais (45) (compagnie Les Fous de Bassan)

2008

"La Grande faim dans les arbres", tournée

"Anjo Negro" , de Nelson Rodrigues, mise en scène Marc-Albert Adjadj, Création et tournée en Guyane

"Nouvelles africaines", de Doris Lessing, mise en espace de Claude Défard, tournée dans les médiathèques et lieux de la Lecture publique en Rhône-Alpes

2009

"Kamélia", texte et mise en scène Marie-Annie Félicité, Compagnie Théâtrale Guyanaise-scène conventionnée, création et tournée en Guyane

"Sauf que", théâtre-installation, mise en scène Franck Mas. Création à l'Emmetrop de Bourges

"P'tit Bout", spectacle de marionnettes, compagnie Syma, création à Thoissey dans l'Ain

2010 et 2011

"Ourika de Gorée au pays des Lumirères", mise en scène Claude Défard, création à Beaugency et à Pierre-Bénite

2013

"Gènes", théâtre-installation, mise en scène Frank Mas, Emmetrop de Bourges et Apostrophe de Cergy Pointoise

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8 octobre 2018

synthèse photos

                            Quelques photos... dans le désordre.

Pour un diaporama chronologique, cliquez sur "Diaporama" dans la colonne de menu à gauche

clip_image002   Ruy Blas

 

 

Grande_Faim_4Grande_Faim_3la Grande Faim

dans les Arbres

de Jean-Pierre Cannet

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Et_plus_si

Et plus si

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         C_est_pas_p_tite_affaire

C'est pas pétite Affaire

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melancholia_2  melancholia_3Mélancholia 2

 

 

 

 

                Signes_particuliers

Signes Particuliers

 

Pissenlits 

La Revanche des Pissenlits

 

Terres_de_d_raison

Terres de Déraison

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Amour_pour_amour   

le Cercle de craie caucasien 

 

   Demain_il_fera_beau

Demain il fera beau

 

 

H_tel_du_Nord

 

Hôtel du Nord

 

 

 

 

 

ballet_baroque

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Danses et Belles Dance

 

 Sauf que 2009

Sauf que photo

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Ourika de Gorée au pays des Lumières  2010

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photo programme

 

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Gènes 2013

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